
La famille Filmar
La famille Filmar est constituée d’un noyau solide de trois passionnés, soit Francis Brisebois, le propriétaire, Carl Guimont, directeur de production et Charles Isabelle, chef monteur,. Ils sont entourés par des artisans, couturières et assembleurs qui partagent avec eux la fierté d’exercer un métier unique et rare dans une magnifique petite communauté située à moins de 950 mètres du Parc National du Bic.
Ils apprécient particulièrement le contact direct avec les biologistes, chercheurs et utilisateursqui se rendent sur place. Ils sont fiers de fabriquer des filets utilisés dans la recherche sur les enjeux climatiques« Savoir que je participe à des projets comme celui de la protection des bélugas dans l’estuaire du Saint-Laurent me donne toute la motivation pour faire mon travail avec le plus grand plaisir », affirme Carl Guimont. Ce dernier ajoute qu’il est toujours « agréablement surpris » de voir un engin fabriqué par l’équipe Filmar « dans un reportage à la télévision ou dans une revue scientifique ».
Francis Brisebois, jeune entrepreneur et propriétaire de l’entreprise depuis 2019, se passionne à trouver des solutions sur mesure pour les clients de l’entreprise, qu’ils soient du domaine scientifique, de la pêche à la civelle, du milieu agricole ou sportif. Il partage avec ses deux principaux acolytes cet amour pour un travail manuel, artisanal et qui répond parfaitement aux besoins des clients. Mais il veut aller encore plus loin : « Mon objectif est d'amener l’entreprise au prochain niveau, tant sur le plan commercial qu’environnemental en introduisant des programmes d’entretien et de recyclage afin de prolonger la durée de vie utile des filets et empêcher qu’ils ne soient enfouis. », dit-il.
Charles Isabelle, chef monteur qui a rejoint l’entreprise en 2017, est assoiffé de connaissances et s’engage activement dans les opérations administratives de l’entreprise. Il apprécie particulièrement son horaire flexible qui lui permet de poursuivre sa passion pour la musique et l’atmosphère de camaraderie qui règne dans l’entreprise. D’ailleurs en mettant les pieds dans l’atelier de fabrication, il est difficile de dire qui sont les assembleurs ou les directeurs tant tous mettent la main à la pâte dans une atmosphère détendue et d’entraide.